Michel Couliet, Archéologue amateur, à découvert il y a quelques années de très anciennes gravures.

"Une fois traduits, ces textes m'ont révélé une histoire extraordinaire.

Une mythologie écrite avant toutes les autres et qui raconte une société vieille de 10 000 ans encore plus ancienne que les premiers royaumes de Mésopotamie ou de Chine.

Une Civilisation où les femmes avaient une place aussi importante que les hommes. Où le féminin était sacré et où chacun avait une part de divinité en soi.

Une philosophie basée sur la quête du savoir et sur la tolérance.


Mais surtout, des préceptes qui auraient servi de fondement à presque toutes nos croyances actuelles. Des religions monothéistes (comme l'islam, le christianisme ou le judaïsme) aux polythéistes (qu'elles soient grecques, celtes, ou inca) en passant par la philosophie taoïste et aux préceptes bouddhiques.

Il apparaît très clairement que toutes les grandes civilisations ont profité des influences de cette toute première religion. Une tradition unique qui rassemble toutes les autres par la source.

Une religion mère."

lundi 7 juillet 2014

Livre II chapitre 1 : les peuples de l'eau

Makéha et Bakouha avaient quitté leur pays.
Ils avaient traversé la mer et l’océan et avaient trouvé au-delà de
l’océan des nouvelles terres.
Ils s’installèrent sur une île à plusieurs jours de toute côte. La mer leur donnait le poisson, les plantes leur offraient
les remèdes à leur maux.
La roche et le bois leurs servaient d’abri.
Loin des hommes et des bêtes dangereuses ils vivaient en paix.
Ils eurent 7 enfants qui, plus tard, en eurent à leur tour. Le couple
devin une famille, la famille un clan, le clan, une tribu.

Quand vint la 144eme naissance, Makéha réunit les siens.
Et leur dit :
- Vous êtes mes enfants et les enfants de mes enfants, vous êtes tous les enfants de Lanna et d'Alamon qui nous ont protégés et nous aiment. Mais la pêche ne nous nourrit plus, les arbres ne donnent pas assez de fruits pour tous. Même les oiseaux et les animaux sont agressifs car la nourriture leur manque aussi.


Bakouha prit la parole et dit :
J'ai vu parmi vous des sentiments qui n'existaient pas autrefois
certains son jaloux, d'autres se battent. L'Etikoa est perturbé.
Nous sommes à présent trop nombreux mais vous êtes tous nos enfants et les enfants de nos enfants, et je ne veux pas que certains s'en aillent pour que d'autres restent.
Nous allons donc tous partir de cette île et trouver de nouvelles
terres pour nous accueillir.
Quand viendra le grand jour d'Alamon, nous quitterons tous cet
endroit qui vous a tous vu naître.

Chaque clan fabriqua un bateau assez grand pour accueillir femmes, hommes, enfants et vivres pour plusieurs semaines. Quand arriva le grand jour d'Alamon. Ils partirent l’un vers l’Est l’un vers le Sud, l’un vers l’Ouest et le dernier vers le Nord. En signe de fraternité pour eux et leurs descendances, ils s’engagèrent à traiter tous les descendants de Makéha et de Bakouha comme frères et sœurs. Chacun embarqua et Makéha et Bakouha ne voulant choisir qui accompagner restèrent sur l'ile laissant partir leur descendance comme l'avaient fait Lanna et Alamon pour eux même.
Ils furent à nouveau seuls pour le restant de leur vie.

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