Michel Couliet, Archéologue amateur, à découvert il y a quelques années de très anciennes gravures.

"Une fois traduits, ces textes m'ont révélé une histoire extraordinaire.

Une mythologie écrite avant toutes les autres et qui raconte une société vieille de 10 000 ans encore plus ancienne que les premiers royaumes de Mésopotamie ou de Chine.

Une Civilisation où les femmes avaient une place aussi importante que les hommes. Où le féminin était sacré et où chacun avait une part de divinité en soi.

Une philosophie basée sur la quête du savoir et sur la tolérance.


Mais surtout, des préceptes qui auraient servi de fondement à presque toutes nos croyances actuelles. Des religions monothéistes (comme l'islam, le christianisme ou le judaïsme) aux polythéistes (qu'elles soient grecques, celtes, ou inca) en passant par la philosophie taoïste et aux préceptes bouddhiques.

Il apparaît très clairement que toutes les grandes civilisations ont profité des influences de cette toute première religion. Une tradition unique qui rassemble toutes les autres par la source.

Une religion mère."

lundi 7 juillet 2014

Pour conclure

Il n'y a pas de polémique dans cette révélation.
J'ignore ce qu'il est advenu de la salle souterraine et des murs qui y étaient gravés. S'ils ont disparu, je ne pense pas qu'il y ait eu une volonté de cacher l'existence de cette religion mère, pas plus par une autorité gouvernementale que par quelques représentants religieux.
Ces murs sont peut-être entreposé dans les sous-sol d'un musée, ou bien enterrés à l’endroit même où je les ai découvert.
Peut-être y a-t-il à l'heure qu'il est des spécialistes qui retranscrivent ces gravures, avec plus de méthode, et moins de partialité que moi.

Ce livre ne remet pas non plus en cause les fondements des grandes religions. Au contraire, elle raffermit leurs liens.
Les grand prophètes comme Jésus ou Mahomet étaient des hommes cultivés et sans reconsidérer le fond de leur message, je pense qu'ils ne devaient pas ignorer l’existence de cette religion mère. Ils ont à travers les nouvelles religions qu'ils ont créé, incité à plus de respect, de tolérance, de connaissance, d'amour. De là à imaginer qu'ils connaissaient les préceptes de leurs lointains ancêtres, il n'y a qu'un pas.
Savoir que Mahomet, Jésus, Bouddha ou Confucius ont pu s'inspirer des mêmes valeurs ne peut qu'inciter les croyants à plus de tolérance et plus d'entente entre les peuples.
S'il la religion mère à été perdue dans le temps, je reste persuadé qu'aujourd'hui toute religion ou philosophie verrait d'un bon œil cette renaissance car elle propose ce que chacun cherche à transmettre, un rapprochement entre les hommes.
Si l'on s'entend sur l'idée d'une souche commune à toutes les grandes idéologies, il faut se rappeler qu'il ne s’agit que d'un héritage culturel et qu'aucun peuple ou communauté de croyance ne peut se revendiquer plus que d'autres leur descendant.
Peut importe que nous soyons tous les enfants de ces peuple ou que nous ne le soyons pas. Qui que nous soyons, si nous adhérons à sa philosophie, alors nous pouvons nous dire héritiers de la religion mère.

Adhérer à une philosophie n'oblige pas pour autant de croire en ses légendes.
Les histoires qui sont racontées dans ce livre sont des mythes qui, même s'ils s'appuient sur une base de vérité, ont été enrichi et amélioré par les multiples générations qui les ont transmis jusqu'à nous.
Libre à chacun de croire ou non. L'essentiel est de transmettre sinon les légendes, les grands principes qui ont été construit dans ses temps anciens, car ces valeurs restent universelles.

J'ai bien conscience que ce témoignage n'est pas assez solide pour prouver la véracité de ces textes, je n'ai que quelques photos comme preuves et les chercheurs qui m'ont aidé dans cette traduction n'ont pas souhaité adosser leur nom à quelque chose qui leur paraissait « trop dur a croire ».
Mais j'ai bon espoir, je sais ce que j'ai vu, j'ai vu renaître ces texte du fond des âges, et je suis convaincu que nous ne sommes qu'au début de nos découvertes.
J'imagine que dans un futur plus ou moins proche, de nouvelles personnes dans d'autres endroits du monde, exhumeront de nouveaux textes ou de nouvelles traces archéologiques prouvant l'existence de cette civilisation et de ces mythes.
Alors peut-être renaîtra à travers le monde la philosophie de la religion mère.






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