Il
n'y a pas de polémique dans cette révélation.
J'ignore
ce qu'il est advenu de la salle souterraine et des murs qui y étaient
gravés. S'ils ont disparu, je ne pense pas qu'il y ait eu une
volonté de cacher l'existence de cette religion mère, pas plus par
une autorité gouvernementale que par quelques représentants
religieux.
Ces
murs sont peut-être entreposé dans les sous-sol d'un musée, ou
bien enterrés à l’endroit même où je les ai découvert.
Peut-être
y a-t-il à l'heure qu'il est des spécialistes qui retranscrivent
ces gravures, avec plus de méthode, et moins de partialité que moi.
Ce
livre ne remet pas non plus en cause les fondements des grandes
religions. Au contraire, elle raffermit leurs liens.
Les
grand prophètes comme Jésus ou Mahomet étaient des hommes cultivés
et sans reconsidérer le fond de leur message, je pense qu'ils ne
devaient pas ignorer l’existence de cette religion mère. Ils ont à
travers les nouvelles religions qu'ils ont créé, incité à plus de
respect, de tolérance, de connaissance, d'amour. De là à imaginer
qu'ils connaissaient les préceptes de leurs lointains ancêtres, il
n'y a qu'un pas.
Savoir
que Mahomet, Jésus, Bouddha ou Confucius ont pu s'inspirer des
mêmes valeurs ne peut qu'inciter les croyants à plus de tolérance
et plus d'entente entre les peuples.
S'il
la religion mère à été perdue dans le temps, je reste persuadé
qu'aujourd'hui toute religion ou philosophie verrait d'un bon œil
cette renaissance car elle propose ce que chacun cherche à
transmettre, un rapprochement entre les hommes.
Si
l'on s'entend sur l'idée d'une souche commune à toutes les grandes
idéologies, il faut se rappeler qu'il ne s’agit que d'un héritage
culturel et qu'aucun peuple ou communauté de croyance ne peut se
revendiquer plus que d'autres leur descendant.
Peut
importe que nous soyons tous les enfants de ces peuple ou que nous ne
le soyons pas. Qui que nous soyons, si nous adhérons à sa
philosophie, alors nous pouvons nous dire héritiers de la religion
mère.
Adhérer
à une philosophie n'oblige pas pour autant de croire en ses
légendes.
Les
histoires qui sont racontées dans ce livre sont des mythes qui, même
s'ils s'appuient sur une base de vérité, ont été enrichi et
amélioré par les multiples générations qui les ont transmis
jusqu'à nous.
Libre
à chacun de croire ou non. L'essentiel est de transmettre sinon les
légendes, les grands principes qui ont été construit dans ses
temps anciens, car ces valeurs restent universelles.
J'ai
bien conscience que ce témoignage n'est pas assez solide pour
prouver la véracité de ces textes, je n'ai que quelques photos
comme preuves et les chercheurs qui m'ont aidé dans cette traduction
n'ont pas souhaité adosser leur nom à quelque chose qui leur
paraissait « trop dur a croire ».
Mais
j'ai bon espoir, je sais ce que j'ai vu, j'ai vu renaître ces texte
du fond des âges, et je suis convaincu que nous ne sommes qu'au
début de nos découvertes.
J'imagine
que dans un futur plus ou moins proche, de nouvelles personnes dans
d'autres endroits du monde, exhumeront de nouveaux textes ou de
nouvelles traces archéologiques prouvant l'existence de cette
civilisation et de ces mythes.
Alors
peut-être renaîtra à travers le monde la philosophie de la
religion mère.
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